Ecologie : La folie du GAZ DE SCHISTE
La folie du GAZ de SCHISTE
Forts de leur avance dans la découverte et l’exploitation du gaz de schiste, les USA sont partis à la reconquête de leur indépendance énergétique. Certains pays, comme lui semblent bénis des dieux : la Chine, la Russie, l’Amérique latine et…les Etats Unis.
Industriels et gouvernants se frottent déjà les mains sur ces poches d’hydrocarbures enfouies dans les roches quitte à passer sous silence les méfaits écologiques de la fracturation hydraulique, procédé indispensable pour extraire cette ressource.
En menaçant de faire chuter les prix du gaz sur le marché européen le gaz de schiste bouleverse entre autres la stratégie du géant russe de l’énergie GAZPROM (société qui récupère les 2/3 de ses ventes à l’exportation). Norvégiens et Français (Total) commencent déjà à se désengager
de ce gaz de l’Artique russe qui coute très cher à l’extraction. (soit 150 $ les 1000 m3)
Grâce à l’utilisation immodérée de la fracture hydraulique, les USA sont passés d’un déficit à un excédent en gaz. Si on y ajoute la production de pétrole, l’exploitation des sables bitumineux du Canada et le pétrole mexicain, l’Amérique du Nord pourrait être autosuffisante au plan énergétique dans quelques dizaines d’années. Les USA disposeraient en effet de 24 000 milliards de mêtres cubes de gaz dans ses sous-sols, ainsi 20 000 puits ont-ils déjà été forés.
Il en découle que les USA risquent fort de se désintéresser de la sécurisation des approvisionnements pétroliers transitant par le détroit d’Ormuz … à moins qu’une flambée soudaine des prix du brut n’intervienne auquel cas ils auraient intérêt à maintenir leur présence dans la région ?
L’Asie du Sud Est avait massivement investi dans le charbon : l’Indonésie par exemple en a exporté 332 millions de tonnes cette année…. pourtant l’Inde et la Chine (objectif de 6 milliards de m3 en 2015 et de 100 milliards en 2020), comme les USA commencent à forer partout dans le monde.
Le saccage de l’environnementLes conséquences écologiques à court terme risquent d’être catastrophiques , la fracturation hydraulique étant utilisée sur 90 % des puits de gaz et de pétrole terrestre.
- Augmentation de l’activité sismique déjà constaté au Mexique
- Forte pollution des eaux
Comment se déroule la fracturation hydraulique ?
On commence à forer un puits vertical de plusieurs centaines de mètres de profondeur avant que la foreuse ne bifurque à 90° pour continuer à l’horizontale jusqu’à ce qu’elle ait atteint le schiste. où le gaz se trouve piégé.
On procède alors à la fracturation de la roche par injection d’eau, de sable et de solvants chimiques sous très haute pression afin de créer une poche dans laquelle le gaz peut se répandre avant de remonter à la surface. Avec le gaz remontent l’eau et le sable, chargés de méthane et de solvants dont 17 sont toxiques.
Ce fluide est souvent réinjecté dans des puits asséchés, pénétrant ensuite dans les nappes d’eau souterraines. Celui-ci pourrait alors peser sur les failles géologiques dont la mécanique naturelle est modifiée par les produits chimiques.
L’exploitation à grande échelle du gaz de schiste est donc d’un grand danger sur l’Environnement. Une grande mobilisation citoyenne sera indispensable pour promouvoir une transition énergétique fondée sur les énergies renouvelables et l’économie verte.
OUVERTURE d’ »EVEIL et SENS » DANS LE SUD DE L’ILE
OUVERTURE d’ »EVEIL et SENS » DANS LE SUD DE L’ILE
Eveil et Sens, propose de nouvelles prestations pour l’équilibre et le bien-être. Située au Sud de l’île, l’activité a pour ambition d’accompagner l’humain vers sa plénitude avec des arts et techniques répondant à un besoin fondamental, celui de donner du sens à son état d’être.
Le Sens est retrouvé en apprenant à mieux se connaitre. Et cela passe par l’écoute du corps physique. Ceci ouvre des portes à la conscience de Soi, ce qui donne des repères initiant des processus positifs pour l’esprit, et par conséquent pour le corps.
Eveil et Sens, c’est aussi l’occasion de s’offrir un instant essentiel de relaxation, de s’apaiser face à une épreuve, ou alléger des tensions. Massages de bien-être pour adultes et enfants, Shutaïdo, art collectif ou individuel du rééquilibrage énergétique par le mouvement, Kofutu, soin spirituel et physique par imposition des mains.
Plus d’informations sur www.eveiletsens.re
Contact : Christine CHANE-KANE – Tél : 06-93-91-47-81 ou 02-62-68-63-51
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se recommander de Patrice LOUAISEL
Le restaurant « ORIMAI » (St Gilles les Hauts) reprend ses délicieux menus réunionnais de qualité …
ORIMAI 42 rue Joseph Hubert – St Gilles les hauts
(Face Centre de convalescence) Tél/Fax : 0262 26 98 50
Lundi
07/01/2013 • Poulet ananas 5.50€ • Ti-jak boucané 5.50€ • Cari poisson 6.00€ • Daube citrouille 5.00 €
Mardi08/01/2013 • Poulet péi pois vert 6.50 €
• Riz cantonnais poulet 5.00€ • Rôti porc 5.50€ • Civet zourite 6.00€ • Shop suey légumes 5.00€
Mercredii
09/01/2013 • Rôti poulet 5.50€ • Rougail salé gros piments 5.50€ • Vindaye poisson 6.00€ • Ratatouille légumes 5.00€
Jeudi
10/01/2013 • Poulet au curry 5.50€ • Sauté porc au soja 5.50€ • Shop suey poisson 6.00€ • Sauté brède 5.00€
Vendredi
11/01/2013 • Civet canard 6.50€ • Côtes de porc grillées et salade composée 6.50€ • Poisson grillé 6.50€
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Orimaï vous propose ses services traiteur, nous contacter au 0262 26 98 50
le C.R.E.S.O.I nous informe …
CRESOI – « Centre d’histoire de l’Université de La Réunion ». Centre de Recherches sur les sociétés de l’océan Indien.CIHOI – Comission Internationale des historiens de l’océan Indien.
A tous les internautes… pour cette fin d’année 2012.
Avant de se lancer dans les fêtes, un petit détour sur le site.
Le CRESOI, Centre d’histoire de l’Université de La Réunion et le Comité International des historiens de l’océan Indien vous invitent à consulter le site www.cresoi.fr et les pages consacrées à l’histoire de l’océan Indien.
Pour cette dernière lettres aux abonnés de 2012 :
Après le succès de la 4ème semaine de l’Histoire organisée avec l’Association historique Internationale de l’océan Indien, se prépare le rendez vous de novembre 2013. Au programme : l’Histoire de St Denis dans ses aspects politiques, culturels… un colloque sur Histoire et Environnement dans l’océan Indien, la journée d’études sur l’histoire de l’esclavage.
Lectures sur l’histoire de La Réunion ; les dernières publications (livres et revues). Voir les pages CRESOI/CIHOI.
Dans le cadre des concours CAPES-Agregation, parmi nombre d’ouvrages un « mini-pavé » destiné aux candidats sur la question « Les sociétés coloniales à l’âge des empires, 1850-1960 » chez l’éditeur Atlande, collection « Clefs concours-Histoire contemporaine ».
Bilan de l’année qui vient de s’écouler à travers les analyses et commentaires (historiens et journalistes) à travers l’ouvrage l’Année politique 2012 à La Réunion… dans toutes les librairies.
A lire l’imposant numéro de la Revue d’histoire de l’outre-mer. Pour son centenaire, la revue édite de très nombreux articles sur l’histoire coloniale.
La rubrique Actualités avec les dernières informations (actes de colloques, journées d’études, projets de recherche, …).
Et d’autres informations sur le site www.cresoi.fr.
Historiquement vôtre. Bonnes fêtes et rendez-vous en 2013.
Le CRESOI, Le CIHOI.
Pour une société plus humaine et plus solidaire où on ne parle plus d’argent et de profit : le S.E.L « Système d’Echange local » !
Depuis toujours les sociétés se sont organisées autour d’échanges divers, la forme la plus simple étant le TROC : tu repeins ma cuisine, je répare ta voiture…
L’introduction de la monnaie, plus facile d’emploi, plus anonyme aussi détrôna vite ce moyen d’échange. Pourtant le système monétaire, s’il a un côté pratique, a aussi ses défauts. En effet, si la monnaie a été inventée pour favoriser les échanges, elle les empêche aussi souvent. Dans cette période de crise économique, nombreuses sont les personnes qui par manque d’argent, ne peuvent plus échanger.
C’est plus particulièrement le cas des chômeurs, éremistes, étudiants, ou retraités. De plus, ce système a été peu à peu détourné de sa vocation initiale puisqu’il sert de moins en moins aux échanges. En effet, selon les chiffres publiés par la Banque Mondiale, seulement 5 % de la monnaie existante dans le monde est utilisée pour des échanges réels… Les 95 % restant étant utilisés uniquement à des fins spéculatives.
Inventés sous leur forme actuelle, dans les années 80 par le canadien Michael LINTON, les L.E.T.S (Local Exchange Trading System), S.E.L.S en français se sont développés dans de nombreux pays, alimentés par la crise économique qui sévit et s’amplifie partout. La France s’y est mise en 1994, la Réunion en 1996. En 5 ans, plus de 400 S.E.L.S se sont crées sur l’ensemble du territoire français. Leur création part d’une constatation évidente : il n’y a pas forcément besoin d’argent pour échanger.
Ensuite, le principe est simple, le S.E.L. met en relation demandeurs et offreurs d’objets, de services ou de connaissances grâce à des annonces diffusées par un bulletin interne. Quand une annonce intéresse quelqu’un, il s’arrange avec l’offreur ou le demandeur, sur la valeur (en grains de sel pour nous) du service ou du bien échangé puis chacun remplit un coupon d’échange qui permettra au “Trésorier en grains de sel” d’augmenter ou de diminuer du montant de l’échange “le compte” de l’offreur ou du demandeur. Lire la suite de cette entrée »
Le SEL « Système d’Echange local » de la Réunion fait son premier bilan …
Le SEL de la REUNION fait son 1er bilan
RAPPORT MORAL du PRESIDENT
Bien Cher(e)s Amie)s de Réunisel, Bonjour,
C’est avec joie et bien sur un peu d’appréhension que j’ai la responsabilité d’ouvrir cette 1e A.G de l’association depuis sa création en Février dernier. En raison d’une tentative dès 1996
sous le nom de TROCSEL, prématurément interrompue en 2003 par mon successeur faute de bonnes volontés pour l’accompagner, Nous avons développé le concept de “contribution solidaire” afin que les tâches soient réparties entre un certain nombre d’acteurs et soient du même coup plus légères. La plupart d’entre nous, ne nous reconnaissons pas dans l’individualisme et la quasi absence de relations vraies, l’hyperconsommation et l’incessante recherche d’un profit maximum, fruit de la mondialisation actuelle basée uniquement sur l’argent.
Notre système se veut parallèle, proposé à des gens conscients que la mondialisation et même l’Europe-uniquement axées sur l’économique et le profit- vont tout droit dans le mur. Il y a dans le nom “Réunisel”, l’idée de “réunir” ceux qui cherchent une société autre, porteuse d’humanisme et de vraies valeurs telles que l’amitié, le partage et la solidarité dans un contexte d’honnêteté et de respect mutuel. C’est dans cette dynamique que nous nous devons de coopter autour de nous de nouveaux membres porteurs et à la recherche de cette éthique, afin que dans chaque ville de l’ile, des échanges toujours plus nombreux puissent avoir lieu..
Réunisel se refusant à l’immobilisme, nous avons créé un “groupe de réflexion” où sont les bienvenus, ceux d’entre vous qui souhaitent participer à des discussions de fond-via le forum du site sur des sujets importants en lien avec notre action et notre devenir. Les synthèses de ces réflexions communes sont ensuite proposées au C.A pour leur mise en application. Lire la suite de cette entrée »
L’immigration chinoise à la Réunion au XIXe siècle
L’immigration chinoise à la Réunion au XIXe siècle
Si l’on retrouve la trace de quelques femmes chinoises au milieu du XVIIIe siècle, il faudra attendre 1843, juste avant l’abolition de l’esclavage de 1848, pour que le gouverneur de l’ile Bourbon signe un arrêté permettant « l’introduction de 1000 laboureurs chinois. »
C’est ainsi qu’arrivèrent en 1844 de Malaisie et de Pulo Pinang, les premiers travailleurs chinois. Le 1er engagé chinois arriva donc sur le bateau « l’Auguste et Marie » le 28/01/1844 en provenance de Singapour.
Peu de temps après, le « Suffren » débarqua 54 chinois en provenance de Pulo Pinang. Ce fut ensuite le tour du « Sarcelle » le 7/07avec 69 engagés, du « Palladin », le 16/08 avec 216 engagés, et du « Nouveau tropique » le 5/10 avec 178 engagés.
On peut penser que comme avec les autres candidats à l’immigration, on ait quelque peu abusé de ces pauvres gens en leur promettant monts et merveilles à leur arrivée ici, de gagner des fortunes et de travailler
dans le domaine de leur choix …car très vite cette immigration posa problème.
Alors que les premiers engagés sont qualifiés de zélés au travail, faisant preuve de bonne conduite et de sérieux-ce qui est tout à fait dans la dynamique du « confucianisme », il apparait que dès 1846 on suspend l’immigration… En effet, les colons font état alors de multiples incidents, de personnes peu assidues au travail, lui préférant le jeu, faisant preuve d’insubordination et quelque peu revendicateurs.
En fait s’ils ont bien signés le livret d’engagement mentionnant l’activité pour laquelle ils ont été recrutés-à savoir laboureurs-, il semble que beaucoup d’entre eux étaient analphabètes et ne savaient donc pas lire… D’où l’impression d’avoir été abusés en arrivant à la Réunion.
De plus, les colons ayant pris la mauvaise habitude de faire travailler
leurs esclaves au delà des heures légales, faisaient de même avec leurs engagés ce que ceux-ci n’appréciaient guère allant s’en plaindre aux autorités …C’était pour les colons un « crime de lèse-majesté ».
Malgré tout, la première boutique chinoise, ouverte à la Possession, a lieu en 1858 par Chen Zhang
En 1862, comme on a besoin d’énormément de main d’oeuvre, l’immigration redevient libre et on voit apparaitre en 1864, la première femme chinoise.
L’alimentation des engagés est quantifiée : la ration quotidienne est de 3 litres d’eau/jour, d’un kilo de riz, de 125 g de poisson séché et de 15g de sel. Le colon doit en outre fournir un hamac de 2m de long et de 50cm de large à chacun de ses engagés.
Alors que l’immigration chinoise s’était plutôt fait sur le nord de l’ile avec majoritairement des cantonnais, le premier « hakka » en provenance de Meixian et engagé sur St Pierre est signalé en 1885.
C’est aussi vers cetté époque qu’a lieu l’enterrement de Hong Hing,
avec la plus vieille tombe chinoise recensée.
En 1896 a lieu le transfert du temple Chane de la rue du Grand Chemin (actuelle rue maréchale Leclerc) au bas de la rue Ste Anne.
En 1901, 812 engagés arrivent en provenance de Fuzhou.
Et à nouveau des révoltes signalées en 1902 avec de nombreux retours en Chine en 1906 …
Livre : « L’islam à l’ile de la Réunion » par Marie France Mourregot aux Editions « L’harmattan »
Après des études de langue arabe et de civilisation islamique à l’INALCO et à la Sorbonne, Marie France MOURREGOT a consacré ses recherches sur la communauté sunnite, d’origine indienne (Gujrat) de l’ile de la Réunion. Docteur en anthropologie sociale et historique à l’EHESS de Paris, elle est associée à un groupe de recherche sur les minorités musulmanes en diaspora
M.F M commence très logiquement son ouvrage en retraçant les circonstances et l’histoire de l’émigration indo-musulmane.
Elle en développe les péripéties, les différentes étapes, les temps forts de la communauté, son rapport avec les femmes et les jeunes, l’évolution du costume et des traditions
Dans un deuxième temps, elle nous parle de son intégration dans la société plurielle réunionnaise, mais aussi des différences-familiales- et similitudes- peurs et croyances- avec celle-ci.
En 2 e partie de l’ouvrage, elle aborde de façon précise l’organisation de l’activité économique et commerciale des Gudjeratis et la façon dont ils ont passé les périodes critiques des 2 guerres mondiales du XXe siècle. Mais pas seulement :
D’une économie basée sur les tissus de l’Inde, les « zarabes » de l’ile ont su remarquablement ré-orienter leur activité du sur-mesure au prêt à porter mais aussi se diversifier et se spécialiser : quincaillerie, gros électro ménager, matériaux de construction, automobile, nouvelles technologies …
En 3e partie de cet ouvrage de tout de même 524 pages-dont on ne se lasse à aucun moment car très agréable et facile à lire,
MFM développe leur appartenance religieuse principalement sunnite de type hanafite, le courant le plus modéré de l’Islam, les pratiques collectives des indo-musulmans (Ramadam, hadj et qourbani) mais aussi familiales (naissance, circoncision, mariage, enterrement)
Elle fait aussi un état des lieux des institutions ( mosquées, médersas… cimetières), des spécificités locales (appel à la prière, voile, abattage rituel …) et des institutions de défense…
Très ouverte, sans être partisane ou hostile, son regard de « chercheur » neutre et objectif aborde tous les aspects de cette population de façon objective et dépassionnée nous offrant d’incontestables pistes de réflexion et d’analyse d’une communauté certainement très attachante même si le contexte international actuel n’en permet pas vraiment l’ouverture qu’on aimerait ressentir. (peur légitime des clichés, du qu’en dira t’on et du « regard » des autres communautés par exemple ; peur d’être assimilés aux intégristes . …)
Cet ouvrage de grande qualité ne peut manquer d’être dans toutes les bibliothèques des indo-musulmans lettrés de la diaspora réunionnaise et des chercheurs en quête d’en savoir plus sur cette communauté plutôt discrète de l’ile.
C’est un ouvrage à lire absolument pour mieux comprendre nos amis de cette communauté.
« L’islam à l’ile de la Réunion » par Marie France MOURREGOT aux Editions l’Harmattan
Patrice LOUAISEL
« Henri Paulin PANON DESBASSAYNS : autopsie d’un gros blanc réunionnais du XVIIIe siècle »
L’intervenant : Claude Wanquet est professeur émérite d’histoire à l’Université de la Réunion. Il a été Président de « l’Association Historique Internationale de l’Océan Indien » jusqu’en 2009. Il a écrit de nombreux ouvrages et articles sur l’histoire des Mascareignes et de l’océan indien occidental au XVIIIe siècle et pendant la révolution française.
Il est l’invité en ce samedi 22 Septembre de l’Association réunionnaise : « Les Amis de l’Histoire » pour une sortie-conférence.