Archive pour la catégorie ‘ecologie’

Préservons le tuit tuit !

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Cher tous,

Le « tuit-tuit », petit oiseau péï en voie de disparition, vit aujourd’hui uniquement dans les hauts de Saint-Denis à La Roche écrite.

Aujourd’hui, ils ne sont plus que 35 couples et ont besoin de votre soutien pour continuer à survivre.

A vous, amoureux de nos forêts qui aiment entendre le chant des oiseaux pendant vos ballades, vous pouvez aider ce « zoiseau » en difficulté avec une petite signature…

Mille mercis à vous.

Michèle Adolphe

A votre tour d’agir pour préserver nout tuit-tuit. Faites passer le message à vos voisins.

De : Les amis de la Roche Ecrite
Objet : Rejoignez-moi sur cette pétition!

Bonjour,

Je viens de signer cette pétition — pourquoi pas toi?

Le Préfet de La Réunion: Suspendre les travaux pendant la période de reproduction du Tuit-Tuit
A l’attention de: Le Préfet de La Réunion

Cette pétition est très importante et nécessite notre aide. Clique ici pour en savoir plus et signer (ou coller l’adresse dans la barre) :
http://www.avaaz.org/fr/petition/Le_Prefet_de_La_Reunion_Suspendre_les_travaux_pendant_la_periode_de_reproduction_du_TuitTuit/?mckOdib

Merci beaucoup,

Les amis de la Roche-écrite

« La vie en vert » à Madagascar : Emission « Investigations » sur France O

« La vie en vert » à Madagascar : Emission « Investigations » sur France O

Le bonheur est dans la forêt. Olivier Behra est arrivé à Madagascar il y a vingt ans et a décidé d’y créer sa propre ONG, qui a pour but de sauver ce qu’il reste de la forêt malgache. – Un documentaire français réalisé par Bertrand Aguirre en 2013. Olivier Behra est arrivé à Madagascar il y a vingt ans et a décidé d’y créer sa propre ONG,

Madagascar a perdu presque toute sa forêt. Elle ne représente plus que 7 % de la surface totale de l’île. : 200 à 300 000 ha partent chaque année en fumée à cause de la culture sur brûlis ( objectif d’avoir des terres agricoles) et les terres subissent les conséquences de l’érosion ..

A 200kms à l’Ouest de Tana, Olivier a cherché à changer les choses en créant une réserve pour la culture de plantes intéressantes au plan médicinal et aromatique (il y en aurait plus de 10 000). Il a aussi installé une distillerie et des labos.

Là bas en grande partie grâce à lui, la communauté villageoise à appris à vivre grâce aux plantes, arrêtant de brûler la forêt pour y planter entre autres du manioc. 88 femmes travaillent sur l’exploitation, avec un règlement de 2€/100kgs. Production par exemple de gingembre papillon (anti-stress) vendue à une société d’aromathérapie (400€/litre) Les paysans ont dès lors 2 revenus : celui de la culture des plantes mais aussi celui de la distillation.

Olivier a aussi initié un programme de reboisement : 450 000 arbres viennent ainsi d’être replantés. Il recherche aussi des substitutions à l’utilisation du bois, notamment pour le chauffage.

En face, il exige des sociétés d’aromathérapie française l’engagement de financer

des programmes qui donnent du travail aux populations locales.

Au labo, le médecin traditionnel malgache a déjà identifié plus de 160 plants. Dans le cadre de l’ONG, il assure un programme scolaire avec travaux pratiques de terrain aux enfants de la communauté. Le programme se complète par un centre de santé et une salle d’accouchement
(sage-femme +infirmière)

Sur l’ile de Nosi Bé, il participe à l’implantation d’Ylang Ylang. Celui-ci n’est productif qu’au bout de 4 ans. Ses fleurs sont utilisées en cosmétiques et pour la qualité des cheveux. Les habitants qui travaillent pour lui gagnent même 250€/mois soit le double du salaire moyen.

On en fait bien-sûr de l’huile essentielle, celle-ci étant analysée et filtrée.

Depuis 20 ans, 80 % des enfants atteints de leucémie infantile sont traités par la pervenche de Madagascar…

Quand il monte sur la France, il rejoint le beaux quartiers de Paris où il rencontre les « nez » des grands parfumeurs, cherchant à impliquer ceux-ci dans le financement d’actions de terrain à Mada. Il leur fait comprendre que ces territoires constituent leur réserve naturelle et tente

d’accéder à un contrat d’engagement financier. A Grasse, il recherche des sociétés susceptibles de s’engager sur des volumes importants pour assurer la pérénité des exploitations. Les « nez » passent alors l’huile essentielle au crible sachant que pour les nouvelles essences, seul 1 projet sur 10 aboutit. Ainsi, il faut plus de 5 ans pour qu’une nouvelle huile soit certifiée.

Dans l’Hexagone, le marché représente 1 milliard d’euros. La démarche d’Olivier est de rendre compatible économie et environnement. Les français sont les 2e consommateurs européens après les Allemands. On trouve d’ailleurs de plus en plus de ce type de produits en pharmacie.

En 1an 1/2, ils ont développé 10 projets dans le monde où grâce à des projets simples et efficaces, ils replacent les populations au centre des projets, chacun y trouvant son compte

Cartons d’O, une société de recyclage de cartons qui fait l’évènement !

<a target= »_blank » href= »http://www.hostingpics.net » title= »Hebergeur d’image »><img src= »http://img15.hostingpics.net/pics/366955fondindex21.jpg » border= »0″ alt= »Hebergeur d’image » /></a>

Cette société s’occupe de recyclage, une démarche suffisamment rare et écologique pour qu’on en parle… Il s’agit là des cartons d’emballage qui seraient normalement destinés à la benne. En effet,de plus en plus de produits arrivent à la réunion sur palette en carton, destinées à la benne !

Avec ces cartons de récupération, ils fabriquent artisanalement des meubles et objets aux formes les plus diverses…à un prix défiant toute concurrence
en mariant le carton avec divers matériaux tels que le métal, le verre ou le bois ou encore des matériaux composites.

Cartons d’O s’est installé dans le grand Sud à petite Ile . Ils vous invitent à les retrouver le Samedi 13 avril de 14h à 18heures. Acette occasion , ils
vous présenteront unepartie de leur nouvelle collection avant le salon de la maison, mais aussi le destockage de certains meubles et une rencontre avec quelques artisans triés sur le volet.

Virginie souhaite également se séparer de sa collection de bijoux anciens et rétro (19eme-mi 20eme siècle).

Et c’est surtout l’occasion de discuter autour d’un thé , café ou jus de fruit.

Si vous etes disponibles , merci de leur répondre avant le 7 avril.

 
Virginie et Serge

Tel 0693 40 09 04   et   0692 93 67 94
http://www.cartonsdo.com/

L’algue bleu vert du lac Klamath : nourriture puissante pour le corps et l’esprit

L’algue bleu vert du lac Klamath.
Nourriture puissante pour le corps & l’esprit.

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Le lac KLAMATH

L’algue bleu vert du lac Klamath L’Algue Bleu Vert, Aphanizomenon Flos Aquae, appelée plus simplement KLAMATH ou AFA croit à l’état sauvage dans un lac de l’Oregon à l’ouest des Etats Unis dans la chaine volcanique des Cascades.
Première forme de vie sur terre, né il y a 3 milliards d’années de l’alliance de l’eau, du feu, de l’air et de la terre, ce micro organisme s’incarne et invente la photosynthèse. Cela lui permet de transformer l’énergie du soleil en énergie biochimique, sublime alchimie de la vie. L’AFA appartient à la grande famille des cyanobactéries (algues bleues-vertes) parmi lesquelles nous connaissons déjà la Spiruline et la Chlorelle aux propriétés intéressantes. En 1976, Daryl Kollman devient l’un des premiers aux Etats Unis à cultiver la Spiruline et la Chlorelle mais le fait de les faire pousser dans des bassins artificiels ainsi que la membrane cellulaire de la Chlorelle constituée de cellulose difficilement assimilable par l’organisme, ne le satisfait pas pleinement. Sa découverte des algues du Lac Klamath allait résoudre les deux problèmes d’un seul coup car l’AFA pousse naturellement dans une trappe à nutriments des plus riches au monde et sa membrane cellulaire, composée d’une substance presque identique au glycogène, la rend assimilable à 95%.

Le Lac Klamath, un écosystème unique au monde.

Situé à 1.400 mètres d’altitude inséré entre la chaîne des Monts Cascades, du Parc National Crater Lake et de la Forêt Nationale Winema ,entouré par les Monts Shasta et Masama, le Lac Klamath constitue une réserve naturelle protégée des pluies acides et de toute pollution industrielle Il daterait de plusieurs millions d’années et aurait survécu à plusieurs ères glaciaires. Alimenté par plus de 17 cours d’eau naturels, d’une beauté et d’une pureté surprenantes, le Lac Klamath contient une grande richesse de nutriments provenant d’une épaisse couche de cendres volcaniques dispersées pendant l’éruption des volcans environnants. Cette nourriture abondante extrêmement riche en minéraux expliquerait la croissance annuelle phénoménale de l’AFA (on parle de 7.000 tonnes à chaque floraison). Les algues sont récoltées et séchées selon un procédé exclusif permettant de préserver au maximum l’ensemble de ses qualités nutritionnelles – tout spécialement les enzymes – tout en préservant l’intégrité de l’écologie du Lac. Le Ph du Lac Klamath quasiment neutre (6,9 à 7,4) lui permet de croître dans des conditions idéales et d’obtenir un niveau de concentration, pureté et qualité exceptionnels. Avec une faible profondeur et une concentration importante de rayons solaires, le lac réunit toutes les conditions pour assurer la photosynthèse.

L’Algue Klamath, l’Aliment Vivant le plus complet et le plus nutritif de la Planète.

L’AFA est un phytoplancton utilisé en alimentation humaine depuis l’antiquité. Elle est constituée à 95% d’eau douce et se charge pendant sa croissance comme un condensateur de tous les éléments indispensables à la vie. Son principal atout viendrait de sa teneur en protéines (75%). Il s’agit d’une protéine végétale exceptionnelle et complète de faible poids moléculaire donc facilement assimilable grâce à sa structure synergique parfaite agissant comme un remarquable catalyseur : tous les nutriments sont présents en parfaite proportion et leurs qualités individuelles sont amplifiées par celles des autres.

Aliment complet elle contient Plus de 135 Micronutriments ;

Une grande richesse en Vitamines : A, B, C, E, F, J et celles du groupe B (B1, B2, B3, B5, B6, B8, B9 y compris la B12) ;

Des Sels minéraux : Calcium, Magnésium, Phosphore, Potassium, Sodium ;

Des oligoéléments : Bore, Chlore, Chrome, Cobalt, Cuivre, Etain, Fer, Flor, Germanium, Manganèse, Molybdène, Nickel, Sélénium, Silice, Titane, Vanadium, Zinc ;

Tous les Acides aminés essentiels dont l’acide glutamique source d’énergie pour le cerveau ;

Une grande concentration en Acides gras essentiels ( Omega 3 et Omega 6) fortifiant les veines et artères, permettant la fluidité et la perméabilité des membranes et les échanges intercellulaires ;

Le taux le plus élevé de Chlorophylle de tous les aliments (trois fois plus que la luzerne).
Sa grande ressemblance avec l’hémoglobine lui a valu le surnom de « sang végétal » ;

Des Nucléoprotéides, structures de base de l’ADN et ARN ;

De nombreux Peptides dont les neuropeptides qui fortifient et réparent les cellules nerveuses ;

Un spectre impressionnant d’Hormones végétales (ménopause) ;

Des Pigments oxygénants et anti oxydants proches des pigments biliaires humains dont la Phycocianine (pigment bleu stupéfiant par sa beauté et ses effets biologiques) aux propriétés anti-inflammatoires déjà mises en évidence chez le rat ;

Du Beta carotène (provitamine A) dix fois plus que les carottes ;
de la Lutéine,
de la Zéaxantine,
du Lycopène et
de l’Aphanine un corticoïde unique à cette espèce ;

Des Polysaccharides qui jouent un rôle capital dans la fixation et l’élimination de nombreux agents contaminants comme les pesticides et métaux lourds et luttent contre les virus et rétrovirus ;

De l’Acide gamma-linolénique que l’on ne trouve que dans le lait maternel et indispensable pour la régulation de l’organisme ;

Des Enzymes et Coenzymes catalyseurs du métabolisme ;

La Superoxyde Dismutase (SOD) neutralise les effets des radicaux libres qui attaquent les membranes cellulaires ;

La Silicone, très utile pour l’hydratation de la peau favorise la synthèse du collagène.

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photo de Christian DRAPEAU, neurophysiologiste

Un Alicament de premier choix

La Klamath intéresse au plus haut point les chercheurs et scientifiques car elle semblerait avoir une action sur la détoxination, la prévention des maladies et la régénération de l’organisme.

1. Action de détoxination L’AFA a la capacité de chelater (fixer)les éléments toxiques des tissus (métaux lourds, radioactifs, pesticides) et de les éliminer grâce à la présence d’un polysaccharide contenu dans sa membrane cellulaire.

2. Action sur l’énergie physique et le système nerveux. Elle comble les carences de l’organisme, améliore la qualité des phanères (peau, cheveux, ongles), redonne de la vitalité en cas de fatigue chronique, convalescence, dégénérescence maculaire. Elle traverse la barrière méningée, nourrit le cerveau, dynamise la fonction d’oxygénation cérébrale et va permettre une nette amélioration de l’activité mentale et intellectuelle, (mémoire, concentration), de l’humeur (dépression), de la qualité du sommeil et des troubles infantiles (dyslexie, hyperactivité, stress scolaire).

3. Action sur le système immunitaire et le métabolisme_ L’AFA stimule les défenses immunitaires en augmentant la production de lymphocytes T et B. Elle provoque une mobilisation presque immédiate des globules blancs ce qui permet à l’organisme de répondre instantanément à une attaque infectieuse. Elle restaure l’ensemble des métabolismes en stimulant certaines glandes essentielles : foie, surrénales, pancréas. Elle facilite la digestion, permet une meilleure assimilation des sucres, régule l’activité de l’insuline (diabète), rétablit l’équilibre acido-basique, rééquilibre l’appétit (surpoids, obésité) et lutte contre les allergies.

4. Action anti-inflammatoire, anti-oxydante et anti-vieillissement La Phycocianine, pigment bleu de l’algue, est deux fois plus puissante que les plus puissants des anti-inflammatoires actuellement connus. Elle inhibe la cyclooxygenose 2 (COX 2), un enzyme très impliqué dans le processus inflammatoire (action reconnue dans le traitement de l’arthrite, entretien des articulations, la fibromyalgie, le psoriasis, etc.).

5. Action sur la régénération cellulaire grâce aux cellules souches de la moelle osseuse. Il vient récemment d’être démontré que l’AFA contenait 2 composés actifs, l’un stimulant le relâchement des cellules souches de la moelle osseuse et l’autre (un polysaccharide) leur migration vers les organes. Elles auraient la possibilité de régénérer les tissus lésés (traumatismes crâniens, fractures, infarctus, dégénérescence maculaire, etc.) et de se transformer en cellules cardiaques, hépatiques, musculaires, cérébrales, de la peau et des tissus. Des travaux sont en cours pour étudier l’effet de l’AFA dans le traitement des maladies dégénératives (parkinson, Alzheimer) ainsi que des déficiences cardiaques ou hépatiques avec une dose journalière de 5 g d’AFA ou 3g de StemEnhance™ (concentré de l’AFA).

A qui la recommander- Comment la consommer ?

Nourriture exceptionnelle pour les femmes enceintes, allaitantes, les enfants, adolescents et personnes âgées. Recommandée pour les sportifs et personnes actives. Se présente sous forme de poudre, gélules et liquide 1 gr par jour pour les personnes en bonne santé Jusqu’à 5 gr par jour (en cas de problème de santé).

N.B. L’AFA (autorisé en France depuis 2009) n’est pas un médicament et ne se substitue pas à un suivi médical ou à une alimentation équilibrée.

Pour la commander joindre :

Patrice LOUAISEL
patrice.louaisel@orange.fr

Ecologie : La folie du GAZ DE SCHISTE

La folie du GAZ de SCHISTE

Forts de leur avance dans la découverte et l’exploitation du gaz de schiste, les USA sont partis à la reconquête de leur indépendance énergétique. Certains pays, comme lui semblent bénis des dieux : la Chine, la Russie, l’Amérique latine et…les Etats Unis.

Industriels et gouvernants se frottent déjà les mains sur ces poches d’hydrocarbures enfouies dans les roches quitte à passer sous silence les méfaits écologiques de la fracturation hydraulique, procédé indispensable pour extraire cette ressource.

En menaçant de faire chuter les prix du gaz sur le marché européen le gaz de schiste bouleverse entre autres la stratégie du géant russe de l’énergie GAZPROM (société qui récupère les 2/3 de ses ventes à l’exportation). Norvégiens et Français (Total) commencent déjà à se désengager
de ce gaz de l’Artique russe qui coute très cher à l’extraction. (soit 150 $ les 1000 m3)

Grâce à l’utilisation immodérée de la fracture hydraulique, les USA sont passés d’un déficit à un excédent en gaz. Si on y ajoute la production de pétrole, l’exploitation des sables bitumineux du Canada et le pétrole mexicain, l’Amérique du Nord pourrait être autosuffisante au plan énergétique dans quelques dizaines d’années. Les USA disposeraient en effet de 24 000 milliards de mêtres cubes de gaz dans ses sous-sols, ainsi 20 000 puits ont-ils déjà été forés.

Il en découle que les USA risquent fort de se désintéresser de la sécurisation des approvisionnements pétroliers transitant par le détroit d’Ormuz … à moins qu’une flambée soudaine des prix du brut n’intervienne auquel cas ils auraient intérêt à maintenir leur présence dans la région ?

L’Asie du Sud Est avait massivement investi dans le charbon : l’Indonésie par exemple en a exporté 332 millions de tonnes cette année…. pourtant l’Inde et la Chine (objectif de 6 milliards de m3 en 2015 et de 100 milliards en 2020), comme les USA commencent à forer partout dans le monde.

Le saccage de l’environnementLes conséquences écologiques à court terme risquent d’être catastrophiques , la fracturation hydraulique étant utilisée sur 90 % des puits de gaz et de pétrole terrestre.

- Augmentation de l’activité sismique déjà constaté au Mexique
- Forte pollution des eaux

Comment se déroule la fracturation hydraulique ?

On commence à forer un puits vertical de plusieurs centaines de mètres de profondeur avant que la foreuse ne bifurque à 90° pour continuer à l’horizontale jusqu’à ce qu’elle ait atteint le schiste. où le gaz se trouve piégé.

On procède alors à la fracturation de la roche par injection d’eau, de sable et de solvants chimiques sous très haute pression afin de créer une poche dans laquelle le gaz peut se répandre avant de remonter à la surface. Avec le gaz remontent l’eau et le sable, chargés de méthane et de solvants dont 17 sont toxiques.

Ce fluide est souvent réinjecté dans des puits asséchés, pénétrant ensuite dans les nappes d’eau souterraines. Celui-ci pourrait alors peser sur les failles géologiques dont la mécanique naturelle est modifiée par les produits chimiques.

L’exploitation à grande échelle du gaz de schiste est donc d’un grand danger sur l’Environnement. Une grande mobilisation citoyenne sera indispensable pour promouvoir une transition énergétique fondée sur les énergies renouvelables et l’économie verte.

l’avenir de notre planete en question

« Vu du ciel » : une émission basique de FR 3 pour une première prise de conscience écologique »

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Diffusée sur FR3 hier 2/09/2012, un dimanche après-midi, il y a déjà un certain progrès des chaînes TV pour faire partager au grand public un message important : celui de l’impact de notre consommation de pays riches sur les pays producteurs fournisseurs généralement pauvres.

Dès le début, on nous rappelle que tout ce que nous consommons provient de la nature, que presque tous nos achats ont un impact sur une nature que notre surconsommation bouleverse, que nous consommons de plus en plus et gaspillons beaucoup trop.

Pour commencer à illustrer ce que quelques « éclairés » savent déjà, le réalisateur de l’émission va prendre l’exemple du coltane, ce minerai indispensable au fonctionnement de nos portables dont un nouveau modèle sort tous les 4 jours dans le monde.

Le Japon produit 15 % des richesses mondiales. Dans ce pays, on dépense pour la publicité plus de 400 milliards d’euros afin de nous pousser à consommer toujours davantage. Résultat : ce pays a dépassé
désormais les USA en nombre de télévisions, réfrigérateurs etc…

Pour faire tourner cette hyperconsommation, 700 000 brevets sont déposés dans le monde annuellement.

Le coltane en République Démocratique du Congo :

Dans ce pays sévit une guerre civile qui a déjà fait 15 millions de morts. Pour financer cette guerre et acheter des armes, les rebelles gèrent un minerai : le coltane, indispensable au fonctionnement de nos portables. Ici même les enfants travaillent pour son exploitation au lieu d’aller à l’école. Pour survivre, ils tamisent la rivière pour récupérer le précieux minerai. La RDC fournit 70 % des réserves mondiales et est 2 à 3 fois plus rentable que l’or (valeur : 50 000 €/kg)
Des mineurs tentent de l’extraire de mines non sécurisées à plus de 50 m sous terre mettant quotidiennement leur vie en danger pour gagner moins de 3 €/jour. Le minerai permet aux rebelles de se fournir en armes.. Il est broyé, concassé, séché et écrasé. Acheté 50 € le kg au départ de l’atelier, il est revendu 1 000 fois plus cher, soit 50 000 € sur les marchés financiers.

Pour le récupérer, les rebelles ses sont installés dans un parc national, condamnant du même coup gorilles et chimpanzés qui l’occupaient et qui sont désormais en voie d’extinction, car ils sont tués par les braconniers et chasseurs.

Aujourd’hui, 2 personnes sur 3 disposent dans le monde d’un portable.
Nous sommes donc pratiquement tous responsables de cette exploitation.

L’exemple du thon rouge, fruit de la surpêche

Le thon rouge est aujourd’hui gravement menacé par la pêche industrielle. En en consommant, nous précipitons sa disparition.

A près de 8 milliards d’humains dans le monde, nous consommons toujours trop, raison pour laquelle 2 % des pêcheurs réalisent aujourd’hui plus de la moitié des prises. C’est ainsi que les réserves en pélagiques s’épuisent, la consommation augmentant constamment. Il est urgent de comprendre que pour que les petits pêcheurs continuent à vivre, il est aujourd’hui indispensable de préserver l’espèce, de lui laisser le temps de se reproduire et de se développer.

L’exemple des jeans

On en produit aujourd’hui 90 millions/an en France pour nos besoins.
On évalue à 65 000 kms, le parcours effectué de sa production à sa vente dans nos rayons ce qui génère par son transport l’utilisation de beaucoup d’énergie et de production de gaz à effet de serre.

Pour en fabriquer un, on utilise 18 composants en provenance de 12 pays.

Le processus commence par la production intensive de coton. Celle-ci
a été multipliée par 4 en 20 ans à grand renfort de pesticides. Alors que le coton est principalement produit en Afrique, on évalue à 25 000 litres d’eau, le besoin de ce liquide pour produire un jean.

C’est le plus souvent au Pakistan, en Italie ou en Tunisie, qu’il est filé puis teint pour un salaire ne dépassant pas 150 €/mois dans ce dernier pays.

La mode est de surcroit au jeans délavé : pour le rendre « tendance », on le vieillit artificiellement et on le déchire. Pour se faire, il faut du chlore et du permanganate de potassium. Ces produits sont bien entendu nocifs pour les ouvriers et l’environnement car ils polluent par leurs rejets cours d’eau et nappes phréatiques, générant de surcroit une importante mortalité des poissons. Pou produire un jeans, il faut un litre de pesticide et 25 litres de pétrole.

Pour ceux qui ne pourraient pas se passer de cet uniforme, conseillons leur d’utiliser de préférence du coton biologique et d’aller dans les friperies…

La production intensive de viande

Il est noté que plus un pays devient riche, plus il produit et consomme de viande. Aujourd’hui dans les élevages généralement intensifs, les vaches sont parquées dans des box minuscules, ne voient généralement pas le jour, piétinent leurs excréments, prennent ainsi rapidement du poids et tombent tout naturellement malades.

Pour éviter des pertes massives, on rajoute à leurs aliments et en grande quantité des antibiotiques qu’en bout de chaine, nous consommons sans même le savoir.

Pour les nourrir, on produit intensivement du soja. Afin de le cultiver, on détruit progressivement le poumon de la planète : la forêt amazonienne, en particulier, le Brésil étant le 2e producteur mondial
de soja. Aujourd’hui la demande mondiale de soja explose.

Les Américains et Européens en particulier doivent comprendre d’urgence qu’ils ne peuvent continuer à détruire la forêt amazonienne.
C’est ainsi que les exploitants continuent à raser cette forêt après avoir racheté leur terre pour une bouchée de pains aux misérables petits paysans locaux, sans même fournir de travail aux populations de la région, l’agriculture intensive étant très mécanisée. Là encore, on utilise d’immenses quantités d’eau, d’engrais chimiques et de pesticides. L’an dernier 26 000 km2 ont été dévastés soit I/3 de la superficie du Portugal.

Si on évalue la population mondiale à 9 milliards d’habitants en 2050,
on constate que le Japon est le plus grand importateur de produits alimentaires au monde. Là bas, on consomme tout le temps, jour et nuit, et on jette 3 fois plus que ce qui est produit dans le pays. Le gaspillage est énorme. Pour constituer un seul plateau repas par exemple, les aliments qui le composent ont fait 3 fois le tour de la terre. 135 000 sacs sont jetés-car rapidement périmés.

De façon générale, 1/4 de la nourriture produite dans le monde est jetée sans avoir été consommée. Parallèlement, ne serait ce qu’au Japon, la grande pauvreté touche 12 % de la population. (En France, nous en sommes à 8 millions ). Quelques supermarchés affirment avoir tenté de négocier avec les autorités sanitaires pour avoir le droit de faire profiter les plus pauvres de ces aliments en voie de péremption sans succès. Les enseignes de supermarchés préfèrent donner cette alimentation au bétail ou en faire de l’engrais.

Le marché aux fleurs de Tokyo

Sous nos latitudes, on adore se procurer des fleurs en plein hiver. Pour satisfaire cette consommation, 3 pays notamment : Kenya, Ethiopie et Colombie sont réquisitionnés.

D’où une hyper-concentration de serres. La rose par exemple rapporte plus de 400 millions d’euros/an.

Près d’ un grand centre de production kenyan, le niveau d’eau du lac voisin diminue constamment, sans compter que les eaux usées, utilisées pour les produire, sont rejetées dans celui-ci. Populations locales, troupeaux, oiseaux et tilapias boivent de l’eau contaminée par les engrais et pesticides. Les exploitations tentent par des barrières érigées sur ce lac de masquer les pompes d’évacuation…

Bien entendu, des employés les arrosent de pesticides à très hautes doses ingérant du même coup le produit. Les médecins locaux constatent tout naturellement des problèmes respiratoires, de vue et une baisse significative des défenses immunitaires pour ceux chargés de ce travail.

Une mer de déchets plastiques dans le Pacifique

Dans le Pacifique, il y a aujourd’hui autant de déchets plastiques que de plancton. Les côtes d’Hawaï- un petit paradis pourtant- sont recouvertes des débris de notre civilisation.. Depuis 1980, la production de plastique dépasse celle de l’acier. On en produit 250 millions de tonnes/an, or celui-ci n’est pas biodégradable.

C’est ainsi que des millions de tonnes de plastique flottent sur l’océan et plus les particules sont petites, plus elles piègent les pesticides. De nombreux poissons les ingèrent… Les sacs plastiques se logent dans les systèmes respiratoires des dauphins à moins que ceux-ci ne les avalent.

Les bébés albatros, les confondent avec des crevettes : 200 000 en sont morts l’an dernier, le ventre plein de plastique.

Les déchets informatiques

La Chine récupère un bon nombre d’ordinateurs usagers en provenance notamment des USA et d’Europe à des fins de recyclage. Or, la durée de vie d’un ordinateur est passée en 10 ans de 6 à 2 ans.

On en trie les composants pour tenter de les récupérer. La récupération de l’étain et même de l’or contenu dans les cartes électroniques ne manque pas de provoquer des vapeurs toxiques pour les ouvriers. Pour récupérer ces métaux précieux on utilise en effet des matériaux corrosifs.

Depuis l’arrivée de ces déchets électroniques, les médecins ont constaté une augmentation significative de maladies respiratoires telles que la tuberculose et de certaines formes de cancers ( foie, estomac, larynx notamment).

Si les pays consommateurs recyclaient eux-mêmes leurs déchets, celà couterait 10 fois plus cher…

Pourtant le commerce des déchets électroniques est illégal, mais les USA et le Japon n’ont pas ratifié l’interdiction de celui-ci. Quant à la Chine, la loi n’est pas appliquée.

4 000 tonnes de déchets sont jetés toutes les heures sur notre planète.
C’est aux pays occidentaux de gérer leurs propres déchets.

On constate par tout ces exemples que les conséquences de nos habitudes de consommation sont devenues planétaires. Il est plus que temps de réfléchir sur nos valeurs et de nous réinventer une autre façon de vivre ensemble. aimer, c’est créer, ce n’est pas consommer.

En coupant le lien avec notre environnement, nous menaçons notre survie. Il nous faut aujourd’hui imaginer une autre façon de consommer …

Aurions nous déjà oublié que tous les animaux dont nous constituons-parait-il- l’échelon supérieur ne prélèvent eux dans cette nature que ce dont ils ont strictement besoin ?

Après « Cash Investigation », « l’émission « Vu du ciel » de Yann Arthus Bertrand risque, elle aussi, de disparaitre… Des lobbies économiques que ce type d’information dérangeraient commercialement auraient ils fait pression
sur la chaîne pour interompre ce type d’émission. Dénonçons sans compter ce type de comportement qui ne fait pas honneur à notre humanité.

« Rendez-vous en terre inconnue » : une émission d’exception

“Rendez vous en terre inconnue” : une émission d’exception

Quel bonheur de se fondre enfin dans une émission toute d’authenticité, de simplicité, de valeurs humaines et de tendresse, comme celle-ci.

Le principe : un acteur français qui oublie sa notoriété pour épouser 3 semaines durant la vie d’une communauté isolée du monde, dans son quotidien, son humanité et sa simplicité.

La toute dernière émission vient d’être diffusée sur “France 2″ à 3h 20 du matin (heure Réunion). Ayant été profondément touché par la précédente qui se situait en Bolivie, à Uyuni en plein désert de sel, j’avais exceptionnellement mis mon réveil à sonner tant je ne voulais pas rater la suivante. Et, je ne fus pas déçu…

La scène se place en Mongolie. Un éleveur mongol a planté depuis longtemps ses yourtes en pleine steppe aride et montagneuse. Il y vit, seul avec sa femme et ses enfants à 20 kms de son plus proche voisin. Pour vivre, il élève des chevaux- (son père lui a offert un étalon pour féconder ses juments-) qu’il vend à “la ville” car ici, on se déplace à cheval. Il élève aussi des moutons qui lui permettent de se nourrir et de se vêtir grâce à leur laine et des brebis dont les poils sont à la source du fameux kashmir si apprécié.

La rencontre entre l’acteur et cet homme rude, élevé à la dure, comme il élève ses enfants,-”pour en faire des hommes”- est profonde, et authentique. Il y a un vrai partage et l’acteur accompagne et assiste son hôte dans tous ses actes quotidiens durant 3 semaines : il apprend à monter à cheval et à s’en occuper, à immobiliser les moutons pour les tondre, à se rendre au point d’eau le plus proche pour s’approvisionner et nourrir ses bêtes.

La relation devient intimiste -grâce à un traducteur- quand la confiance s’établit et que cet homme rude d’apparence se confie et raconte sa vie, ses espoirs et ses rêves, ses inquiétudes aussi.

Sa vie ? Heureuse alors qu’il est totalement isolé en pleine steppe et dure car il faut bosser dur au quotidien pour faire vivre sa petite famille.

Ses rêves ? Que ses fils continuent comme lui à vivre de la même façon avec ses chevaux et ses moutons

Ses craintes ? Qu’ils se laissent attirer par les mirages de la ville où tout n’est que misère,(car il n’y a bien sûr pas de travail) peur des agressions et individualisme … Même si ses plus proches voisins sont à 20 kms, il y a là une vraie solidarité basée sur la confiance et même l’occasion de festoyer avec eux en mesurant ses forces à travers des épreuves hippiques par exemple.

Une belle leçon de vie, avec une belle rencontre faite de simplicité, de complicité et de tendresse.

Quand nos médias locaux comprendront-ils que nous aimerions retrouver enfin la vraie vie où tout ne devrait être qu’harmonie, simplicité, tendresse en relation permanente avec une nature si belle et qui nous apporte tant à travers des émissions diffusées à des heures où nous puissions les regarder ?.

En tout cas, bravo au réalisateur qui nous propose enfin une émission, authentique, profonde, émouvante, pleine de chaleur humaine et porteuse de réflexion

Patrice LOUAISEL

« Cash Investigation », une émission de France 2 en tout point remarquable

« CASH INVESTIGATION » : UNE EMISSION TV EN TOUT POINT REMARQUABLE

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Elise Lucet, journaliste à France 2

Vendredi 4 Mai au soir : Après m’être couché tôt pour raisons de programme TV de piètre qualité, je me réveille frais et dispos à…0H 20 … juste à l’heure où débute une émission qui va se révéler tout à fait remarquable sur FRANCE 2. Il s’agit de  » Cash Investigation » et celle-ci va durer près de 2H.

J’appréciais déjà  » Complément d’Enquête », une émission intéressante mais celle-ci ose aller jusqu’au bout de ses investigations même si incontestablement elle doit considérablement
déranger… Combien de temps durera t’elle ? Combien de temps parviendra t’elle encore à déranger les plus grands lobbies de notre temps ?

L’émission commence par une enquête approfondie : « le grand cirque du marketing vert » qui insiste sur le ciblage du « vert » en matière publicitaire dans la plupart des grandes marques d’aujourd’hui.

Des emballages aux bouchons, tout est vert pour tenter de séduire le consommateur …mais plus grave, la plupart des « certifications » sont bidons après enquête approfondie et l’expérience démontre qu’elles ont une indéniable répercussion sur les ventes. Des bouteilles d’eau avec 20 % d’emballage soit disant « bio-dégradable » (en fait seulement 10% sur un emballage qui mettra plusieurs siècles à disparaitre polluant pendant tout ce temps-là l’environnement terrestre et maritîme.), jusqu’à la « banque verte » qui pour montrer son engagement écologique signalée dans ses pubs, finance des projets en fait terriblement polluants la classant parmi « les derniers de la classe » en termes d’énergie propre après une fine analyse des « Amis de la Terre ».

Au cours de l’émission, l’équipe de « Cash Investigation » s’est arrêtée sur le cas du Crédit Agricole. Régulièrement surnommée « la banque verte », cette entreprise française se réclame du « Green Banking » dans une campagne publicitaire mondiale incarnée par Sean Connery depuis fin 2009. Pourtant, « Cash Investigation » révèle que la banque continue d’investir massivement dans les énergies fossiles. Outre une plate-forme pétrolière au Groenland, la banque participerait aux financements d’usines ayant recourt au sable bitumineux et au charbon.

Dans sa communication, le Crédit Agricole se réclame pourtant du soutien de la prestigieuse organisation non gouvernementale au Panda : WWF, avec qui elle a conclu un partenariat en 2010 rapportant 400.000 euros par an à l’ONG. Un paradoxe qui a logiquement alerté la rédaction du magazine, qui a alors demandé des explications au patron de WWF. Mise devant ses contradictions, la direction de l’ONG a décidé d’interrompre brutalement l’interview menée par Elise Lucet.

WWF a porté plainte devant le juge des référés pour obtenir la communication de l’émission et l’interdiction de la diffusion de l’interview. Finalement, la Justice a donné raison à France 2.

Mis devant leurs contradictions, les responsables de ces grands groupes font en général ceux qui ne sont pas au courant et promettent une enquête qui 6 mois après n’a toujours pas commencé. Un site gabonais exploité par Aréva, (un des champions du nucléaire et de l’exploitation de mines d’uranium) garde par exemple, après plusieurs décennies d’ exploitation un taux de radio-activité considérable (relevé par compteur geiger) dans les villages avoisinants générant de multiples atteintes de santé (comme des infections pulmonaires à répétition…) selon l’association humanitaire « Médecins du Monde » chez les enfants habitant dans les villages avoisinants de ces lieux pollués.

2e enquête sur l’industrie du tabac : Un biologiste de talent est embauché par une des premiers tabagistes américains pour soi-disant fabriquer une cigarette plus « écologique » :
Scrupuleusement honnête, celui-ci dénonce le caractère addictif de la nicotine, se fait licencier puis menacer personnellement s’il parle, jusqu’à ses propres enfants. Aujourd’hui, il ne se déplace qu’armé en permanence, ne touche que 10 % de ses émoluments antérieurs mais s’acharne toujours à faire des conférences dans les collèges sur les dangers de dépendance induits par la nicotine.

2 exemples parmi tant d’autres du pouvoir des lobbies industriels, de l’inefficacité des organismes de contrôle …mais en toute certitude, malgré l’heure tardive, une émission de grande qualité à ne surtout pas rater…

A Vendredi prochain sur France 2…

Patrice LOUAISEL

Connaissez-vous « Ti Chouchou » : le magazine qui « adoucit la vie » ?

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Vous êtes de plus en plus nombreux à partager l’envie de construire un monde

plus en accord avec l’environnement.  Par conséquent il nous semble intéressant de

mettre à votre disposition un magazine qui pourrait recueillir des informations allant

dans ce sens.

« Ti Chouchou » est un magazine alternatif, bio, écolo, équitable « made in Réunion » ET TOTALEMENT GRATUIT….
 

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Car si l’éveil individuel est nécessaire au changement de nos pratiques quotidiennes,

nous avons l’intime conviction que tous ensemble, dans un esprit de partage, et de

générosité, nous avancerons d’autant plus sur le chemin de la sagesse et du respect

de la nature

Contact : magazinetichouchou@gmail.com ou 0692 18 56 52

 

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