roman historique : « Henry de BALZAC, enfant de l’amour »
Roman très interessant que celui-ci d’autant qu’il rejoint l’histoire de la Réunion à une époque très dure celle de la transition entre l’esclavage et l’engagisme.: tout le monde connait le gigantesque écrivain que fut Honoré de BALZAC. Mais quand on est le frère cadet d’une telle sommité, peut-on même simplement exister ?
C’est tout l’enjeu de ce roman historique …Henry de BALZAC est un enfant choyé par sa mère, trop choyé même au point d’en être indolent et dépendant …jusqu’au jour où son frère le met au défi de réussir enfin quelque chose dans sa vie…et pourquoi pas aller aux Indes où parait-il on peut aisément faire fortune ?
En route, il fait donc escale à l’île Maurice, où malgré une rencontre affective importante, il trouve moyen de dilapider ce qu’il gagne-c’est bien une tendance lourde d’ordre familial-et est donc contraint de rentrer en France, sans le sou…
Il retourne pourtant à l’île Maurice avant d’aller à la Réunion puis à Mayotte où il cherche vainement à se faire un nom…
L’action se déroule donc dans l’Océan Indien à l’époque de l’Esclavage précédant l’abolition….
Michel THOUILLOT est professeur agrégé et docteur es lettres. Il enseigne sur l’île de la Réunion. Il est aussi l’auteur d’articles et d’études critiques sur l’oeuvre de Claude SIMON
(aux Presses Universitaires de Rennes 1998)
Henry de BALZAC est son premier roman.
Patrice LOUAISEL
OLIVIER LEVASSEUR dit « La BUSE », célèbre pirate de BOURBON
Il aurait fait partie de la réunion de Providence (aux Bahamas), où les grands capitaines pirates des Antilles prirent, pour la plupart, la décision de fuir les Caraïbes, devenues trop dangereuses depuis que les différentes marines nationales y menaient des campagnes anti-pirates. Il aurait ensuite croisé dans le Golfe de Guinée, en compagnie des pirates Cocklyn et Davis, et y aurait fait plusieurs prises. Il réapparait à Mayotte, où il aurait fait naufrage avec son navire, l’Indian Queen. C’est là que le capitaine pirate England l’aurait pris à son bord, et où, avec le capitaine Taylor,(coléreux et cruel) ils décident de s’associer pour une campagne dans la mer des Indes au départ de la baie d’Antongil à Madagascar. Au retour vers les Mascareignes, Taylor et La Buse auraient décidé d’abandonner England, avec qui ils se sont fâchés, à l’île Maurice. Les deux pirates font ensuite voile vers l’île Bourbon qu’ils touchent le 20 avril 1720.
Signature du livre « Pour l’Amour de mes filles «
Mr Bernard BARSAMIAN est président de l’association « PAIRE DEUX COEURS » qui veut rétablir la place du père au sein de notre société notamment en cas de conflit parental. Il signera son livre : « Pour l’Amour de mes filles »
Samedi 11 juin 2011 de 9h00 à 12h00 au Marché Forain de Ste Marie et distribuera le ? programme de la jounée du 18 juin 2011 SPECIAL FETE DES PERES? OPERATION CONJOINTE PAIRE 2 COEURS-MEDIATHEQUE STE MARIE-COMMUNE DE STE MARIE
-Mercredi 15 juin 2011 de 16h00 à 18h00 LIBRAIRIE GERARD ST DENIS Dédicace livre réédité POUR L’AMOUR DE MES FILLES
nouveau format et nouvelle couverture, photos ahérents et membres,épilogue,mot de l’éditeur,commentaires adhérentS,etc……………..
Un livre de portée et à vocation nationale !!!!!!!
Pour en savoir plus…
BARSAMIAN Bernard, Président de l’ASSOCIATION DE DEFENSE DES PERES
« PAIRE 2 COEURS » assopaire2coeurs@hotmail.fr tel : portable 06 92 32 78 35
page Facebook puis recherche tapez barsamian
les KERVEGUEN, une grande famille esclavagiste du sud
Compte rendu de la sortie culturelle des « Amis de l’histoire » du 25/06/2011
animée par l’historien-guide, écrivain Enis ROCKEL sur : « la famille KERVEGUEN,
une grande famille esclavagiste du SUD »
Enis ROCKEL, historien et guide conférencier avec le groupe
Cette rencontre s’est située dans la salle du conseil municipal de ST PIERRE où les frères KERVEGUEN se sont livrés à des débats fratricides, ainsi que dans l’estuaire de la rivière d’Abord, terrain de jeu dans la prime enfance de Gabriel Kerveguen.
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Estuaire de la rivière d’abord : terrain de jeu de Gabriel K/veguen
Elle donna lieu à une vidéo conférence captivante. Lire la suite de cette entrée »
un cimetière d’esclaves mis à jour près du cimetière marin
Les fouilles entamées la semaine dernière derrière le cimetière marin de Saint-Paul comblent les archéologues au-delà de leurs espérances. Les scientifiques viennent de confirmer l’existence d’un ancien cimetière de 2000m2, probablement réservé aux esclaves. Une douzaine de squelettes ont déjà été exhumés.
Il n’aura fallu qu’une petite semaine de fouilles aux scientifiques pour confirmer leurs premières hypothèses : une ancienne enceinte funéraire jouxte l’actuel cimetière marin de Saint-Paul. L’équipe composée de trois archéologues et d’étudiants de l’université est parvenue à déterminer une zone d’environ 2000m2, située entre la clôture du cimetière et la mer dont le sous-sol regorge de squelettes. Sept forages ont été effectués ces derniers jours et cinq d’entre-eux se sont révélés positifs. Dans chacun, des corps parfaitement disposés, tous orientés vers l’ouest sud-ouest qui prouvent une organisation du lieu et non une accumulation aléatoire de corps comme les vagues de Gamède avaient pu le laisser penser en 2007. C’était la principale interrogation des chercheurs. Le mystère est donc levé. Mais l’équipe scientifique ne s’est pas contentée de déterminer le périmètre du lieu et sa raison d’être. L’un des forages a été en effet exploré en profondeur et une douzaine de squelettes y ont été mis au jour. Certains entiers, d’autres amputés ou simplement résumés à la présence de quelques structures. La fouille approfondie de cet espace d’environ 20m2 a notamment permis d’identifier plusieurs phases d’inhumations successives, jusqu’à six par endroits, six squelettes enterrés dans un espace de 2 à 3 m2. L’un d’eux était d’ailleurs un nouveau né.
Des dents taillées : un rituel africain
Mais ce qui s’impose peut-être comme l’autre découverte majeure des chercheurs date d’hier matin précisément. Nettoyé patiemment au pinceau, l’un des crânes a révélé la présence de plusieurs dents taillées, canines et incisives. Un rite très couramment pratiqué sur tout le continent africain, du moins dans sa partie subsaharienne “ et que l’on retrouve dans la plupart des terres d’esclavage”, note Bruno Bizot, l’archéologue détaché pour cette mission par la Drac de Marseille. Inutile de préciser que le squelette en question est donc très probablement celui d’un ou d’une esclave. Mais cela suffit-il pour autant à affirmer que cette enceinte était à coup sûr un cimetière d’esclaves uniquement ? Les scientifiques sont divisés sur le sujet. Pour l’historien Sudel Fuma, la réponse est “ oui à 99,9% et même à 100%”. L’universitaire a travaillé sur ce thème des sépultures séparées dans l’océan indien. Les premiers résultats des fouilles l’attestent selon lui. D’abord l’absence de pierres, de blocs rocheux et de métal qui suggère des enterrements sans faste, sans tombeau, dans des cercueils simples. Puis l’ancienneté des squelettes retrouvés, probablement inhumés aux XVIIIe et X1Xe siècles. “Jusqu’en 1820, la séparation des sépultures entre esclaves et colons était très nette” explique-t-il.
Étudier les restes d’ADN
Enfin la présence de dents taillées qui prouvent l’origine africaine des squelettes. Éric Kichenapanaïdou, archéologue au service patrimoine de la ville de Saint-Paul appuie son propos. “Jusque-là, nous n’avions jamais eu la preuve de cette séparation. C’est une première pour la Réunion mais aussi pour l’ensemble du monde colonial français. Nous ne sommes plus dans l’étude des récits historiques, nous touchons physiquement les matériaux de l’esclavage, nous sommes devant nos ancêtres, c’est très fort “. Bruno Bizot pour sa part refuse de s’avancer jusque-là, faute d’avoir pu fouiller de l’autre côté du mur pour comparer par exemple les conditions d’inhumation dans le cimetière officiel, celui potentiellement des colons. Pour lui, il revient aux historiens de travailler désormais pour conforter cette hypothèse. L’archéologue insiste également sur la nécessité de poursuivre les recherches sur les squelettes exhumés. Sous réserve de trouver une solution de conservation (problème non élucidé pour le moment, voir par ailleurs), le scientifique estime nécessaire de développer par exemple des analyses génétiques en prélevant s’il en reste de l’ADN fossile dans la pulpe dentaire de squelettes. Étude qui pourrait confirmer l’origine géographique ou ethnique de ces individus. Des études dites paléopathologiques permettraient également d’identifier les traumatismes musculaires et osseux causés par les activités de ces hommes et femmes de leur vivant. Une autre façon de confirmer leur condition servile. Il reviendra à l’Etat et à la ville de Saint-Paul, copropriétaires des vestiges, d’autoriser ou non ces recherches. Autorisation qui sera sans nul doute rapidement délivrée. En attendant, cette première véritable fouille archéologique impulsée par la DAC-OI à la Réunion suscite déjà une grande émotion. “C’est un moment exceptionnel que nous vivons”, estime notamment Sudel Fuma. “Les Réunionnais viennent de sortir du néant une part d’eux-mêmes, affirme pour sa part la députée-maire de Saint-Paul Huguette Bello. Cette découverte ouvre incontestablement une nouvelle page dans la connaissance de notre histoire”
*Tous les squelettes retrouvés entiers ont été inhumés en direction de l’ouest, selon le rituel chrétien
Romain Latournerie
sources Journal de l’Ile clicanoo.re
nos traditions réunionnaises-comme notre histoire-en pleine déconfiture
Notre folklore réunionnais-tout comme notre histoire-souffrent des affres de l’oubli
par manque d’implication et d’engagement financier de nos responsables politiques et culturels : Au plan historique, tous nos monuments sont à l’abandon : « La Grand Cour » de St Paul de Mme Desbassayns, Domaine de Maison Rouge, Eglise St Thomas des Indiens, Cimetière des Malbars de St Louis etc…la liste est longue.
A la découverte de l’artiste-peintre Ka.ty Deslandes…
“Peindre ,s’asseoir ,etre la c’est tout ,quand je peins ,je suis comme un canal à ce qui est , ce qui vient .
Une plénitude parfaite ,une énergie qui se renouvelle ,circule à tous les niveaux de mes chakras .
L’Inde est un pays de dévotion .Peindre est un acte de paix ,une prière .”
B.D : long Ben, cap au Sud …de Sabine THIREL
Auteur : Sabine Thirel Vergoz- Olivier Giraud
Éditions ORPHIE Collection BD Parution 1er Trimestre 2011
Tome 1
L’ouvrage
Henry Avery dit « Long Ben », est une légende dans l’histoire de la piraterie. D’abord parce qu’il s’empare du plus gros trésor de tous les temps, et aussi, parce qu’il enlève la fille du Grand Moghol qui règne sur l’Inde à cette époque. Le capitaine du Fancy, navire anglais de 46 canons, écume la Mer des Indes avec un équipage cosmopolite. Ils accostent l’île Bourbon (Ile de la Réunion) en 1695 où sont débarqués 70 pirates volontaires dont :
l’activité maritime réunionnaise du XVIIe au XIXe siècle
L’activité maritime réunionnaise du XVIIe au XIXe siècle
par Olivier FONTAINE
C’est en 1738 que Mahé de la Bourdonnais a transféré en 1738 la capitale de l’île de St Paul à St Denis. Les entrepôts de café allaient de la préfecture à l’actuel siège d’Air France.
Au niveau de St Paul, l’urbanisation a depuis détruit tout ce qui existait en front de mer-autrefois dévolu à la défense et à l’activité maritime.
livre : « Pour l’Amour de mes filles » de Bernard BARSAMIAN
Bernard BARSAMIAN
Bernard BARSAMIAN, Président de l »Association « PAIRE 2 COEURS » nous annonce la dédicace le mercredi 1 juin 2011 Librairie Gérard ST Denis de 16h00 à 18h00 du livre « Pour l’amour de mes filles » AUX EDITIONS AZALEES